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1463-12- [RP] janvier 64 - Shiver my timbers

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Message  Admin Jeu 7 Jan - 10:31

International RP -> On the Water


Dernière édition par Admin le Lun 24 Juil - 16:54, édité 1 fois

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Message  Admin Jeu 7 Jan - 10:32

Cleo_de_meridor a écrit:[rp]

https://www.youtube.com/watch?v=e2oLcMOXNTQ

Noël …

Que font les Corsaires à Noël ?

Comme tous ils aiment rentrer chez eux,

ce n’est pas par hasard qu’ à la sortie du port de Montpellier  on me  tendit un petit bijoux à déposer sur la poitrine de l’Amiral, je pouvais lire sur le métal  « médaille du Pronet », ce ne fut pas facile de garder mon sérieux, après en avoir saisi la signification.  Soit, les lèvres  pincées, j’accrochais l’objet sur l’uniforme de L’Amiral, amusée  après avoir lu le titre de la médaille,  elle garda son sérieux, et avança dignement le torse en avant.

Les navires se regroupaient, il était l’heure  de partir,  c’est joyeux que les marins de tous continents
partagèrent cet instant de fraternité  qu’était « le voyage »  
[/rp]

Tanissa a écrit:[A' bord de l'Obélix]

"Une medaille c'est toujours une medaille!"

Se dit l'Amiral en se promenant fière sur le pont. Et puis c'était vraiment plus que merité. Ah oui, pour sûr.

Quelque douce mot aux matelots qui prenaient soin de l'entretien du navire: qui se grattait la tête en remembrant les poux pris en Turquie, qui le ventre, qui confortablement appuyé sur des rouleaux de gréement se grattait le cul.  Euh!


- ARW! Bande de fainéant! C'est finie la vacance. Au travail!!! Pas de bière pour une semaine. Que ça aidera aussi reduire les stop-pipi.

Elle fit tournoyer son fouet imaginaire. Un vrai dommage que torturer les matelots avait été aboli par la Convention de Jesaispas du 1452. Bah les Droits humaines. Quelle connerie!  

Laissé les matelots reprendre doucement le travail elle se penche sur la rambarde du pont de poupe en regardant completement kidnappée les nombreuses voiles avec le Lys doré qui suivaient l'Obélix. Une année qui allait se terminer. Une année intense pour la Royale et les corsaires.

Floriantis a écrit:[A bord]

Lui, tout en surveillant le pont pour que personne ne tombe à la baille, a suivi amusé la cérémonie improvisée et peu protocolaire de la remise de médaille, et n'a pu retenir un rire en regardant la Patronne faire quelques allers retours, fière de cette décoration. S'amuser fait le plus grand bien et lorsque le péril les laisse un peu tranquilles, ils ne se font pas prier pour se faire quelques blagues, ce qui renforce davantage les liens qui unissent cette famille de marins.
Depuis des mois, ça n'est pas sur le Cent Vents qu'il navigue mais sur l'une des caraques de la Royale bien moins tendre avec les manants qui s'en prennent aux navires qu'ils croisent.
Et cette fois-ci la Flotte semble avoir pris son envol pour laisser derrière elle le port languedocien et ses quelques péripéties qui disparaissent peu à peu dans son sillage.

L'air du large et le chant des vagues contre la coque revient habiter son espace et c'est un sourire sur les lèvres que l'Alcapari parcourt les alentours du regard.
Il n'est pas peu fier de faire parti de ces marins prêts à tous les périls pour veiller sur les eaux et le Royaume.

Un signe de la main en direction de l'Obélix.
Avanti ! Les terribles ont repris la mer !
Jefflebarde a écrit:Depuis des jours, et puis pas tant que ça, les artistes des flots avançaient bon gré malgré les turbulences ici et là dans lesquelles se vautrait sire Eole
La fin de l'année arrivait mais pas celle du voyage et Jeff, à l'approche du renommé détroit caressa sa muse...


Passer l'an neuf sous les côtes Gibraltar à l'aurore
prend un air magique pour les marins de tout bord...
Les perles de dame Méditerranée quitte son écrin
pour orner le vaste étendu océan où tout est craint...


Jeff, de son porte-voix invita ses amis à poursuivre ses vers.

Cleo_de_meridor a écrit: Maudit coin, qui avait vu couler L'ouroboros, serait-ce en cette fin d'année, que Cleo se réconcilierait avec cet endroit maudit pour elle ... Pourquoi maudire un tel endroit?  toujours à cause de l'homme, celui qui fait le mal, pourquoi soudain elle pensa qu'il fallait oublier et prendre ce que la mer lui offrait à cet instant,  la plus belle danse qu'elle n'avait jamais vu, la force du vent était à son maximum et les reflets de la lune donnaient un spectacle époustouflant, de bleus et de blancs à couper le souffle du peintre le plus talentueux, les navires se rassemblaient et c’était tout simplement, beau !.

Mais quel était ce sauvage qui venait  troubler cet instant de bonheur intense ? un porte voix sur le pont d’à coté hurlait, les paroles se perdaient dans le bruit des vagues … elle sourit  …

c’est un peu plus loin, dans le détroit, que tous ensemble   ils  jetteraient l’ancre et lèveraient leur  verre à la nouvelle année.

Floriantis a écrit:- Sur un autre navire -

C'est indéniable : nous progressons ! *  


Les terribles veillaient les uns sur les autres tandis que les coques majestueuses de la Flotte fendaient fièrement les flots laissant entendre le chant de la mer qui les saluait. Ce bruit, il ne s'en lassait pas l'Alcapari et c'est en mer qu'il était le plus heureux. La Patronne leur avait parlé de Gibraltar, cet endroit dont il avait tant rêvé avant de naviguer, et qu'ils allaient franchir tous ensemble comme un seul homme, pour cette nouvelle année qui arrivait.
Alors l'oeil rivé sur sa longue vue il observait les alentours, guettait les silhouettes qui déjà semblaient vouloir sortir de l'horizon.

Le Détroit et ses deux gardiens.
Combien de fois les avait t il imaginés dans ses rêves les plus fous, alors que ses pensées de Cadet de la Garde Episcopale se perdaient dans les volutes brumeux des petits matins sur le port de Saint Brieuc en cette fin d'été 60.
Et c'est par une journée de mai de cette année qui s'achevait, qu'il l'avait franchit pour la première fois, avec comme protecteur à quelques encablures, le navire d'Harpège.
Les paroles du vieux capitaine résonnaient dans sa tête : "tu verras petit la beauté n’est pas dans ce que tu auras sous les yeux, mais dans ce que tu ressentiras.
Le souffle du vent, le tangage du navire alors qu’il approche de la passe et qu’il commence à s’inquiéter du vent qui tourne, de la mer qui semble gronder plus fortement.
Il te le montrera, te le murmurera dans chaque parcelle de sa coque et de sa voilure, comme autant de soupirs échappés lorsqu’une femme occupe ta couche.
Ecoutes le et surtout, surtout, prends cas de ses mises en garde.
La mer n’est pas pour les insouciants et les parleurs, elle ne pardonne pas. "

Alors il l'avait écouté son navire, dans ses moindres murmures, ce compagnon de découvertes qui lui ouvraient les portes du savoir et lui permettait de poser ses prunelles bleutées sur des terres que seuls des navigateurs avaient la chance de contempler ou de fouler.
La mer était devenue sa confidente lorsque son cœur débordait et se répandait sur la crête des vagues comme le linge entre les mains de celle qui cherchait à lui redonner son éclat.
Une fois l'ancre jetée ils passeraient la fin de journée tous ensemble, regroupés, avant de s'élancer vers des demains qui il l'espérait, seraient aussi magiques que ceux qu'il vivait depuis ces derniers mois.

La voix qui leur parvenait du navire tout proche lui fit tourner son regard vers lui et un sourire s'afficha sur ses lèvres.
Alors, les mains posées sur le bastingage, il éleva la voix à son tour pour clamer dans le vent.


Que n'ai je rêvé de ces gardiens de pierre
Qui veillent sur la passe, été comme hiver
Et qui nous salueront d'un silence rythmé
Par le chant de nos voiles, par les grands vents gonflées...


Non il ne jeta pas son chapeau dans les airs, car la dernière fois il avait du plonger pour aller le chercher.
Mais il était content, il avait mis son petit grain de sel marin le florentin d'alcaponé comme l'appelait Cleo, et il salua de la main ses compagnons d'aventures.



* de cape et de crocs


Tanissa a écrit:[A' bord de l'Obélix]

1463-12- [RP] janvier 64 - Shiver my timbers  2qd4d4k

Il y a des moments magiques, des ondulations dans le tissu du temps que signent le passage, dont  le sens etait perdu dans la mémoire ancestrale. Et des lieux également mystiques qui transmettaient aussi aux plus naïf une énergie particulière qui sortait de l'eau et de la terre, un charme qui allait au-delà de la beauté qu'on peut saisir avec les yeux.

La corsaire, superstitieuse comme tous les marins sentait tout cela dans les os, dans les veines, un signe, une prémonition,  en regardant le nombre impressionant des bateaux aux voiles ferlées à l'ancre dans la baie de Gibraltar sous les étoiles de la dernière nuit de l'année.  Rien est jamais une coïncidence. Et dans tout ça elle aperçut un bon présage pour l'avenir, avenir qui prendait l'image des flots au dos imposant de l'Océan Atlantique qui l'attendait avec bras d'amant.

En approchant de Gibraltar, l'Obélix  reprenait vie …  forçant l'allure pour laisser derrière lui ce lac aux canards qu’était la Mer Méditerranée, avec ses vents chauds et faibles, ses brumes et ses mirages,  pour se jeter dans les vagues violentes de l'Atlantique.

Après la nuit  passée à vider bien les verres tous ensemble, parier,  si et quand un matelot tomberait dans l'eau à force de grimper d'un bateau à l'autre avec deux bouteilles dans chaque main, les voici, les marins de la Royale, hisser les voiles sous le soleil laiteux de janvier. Un chant qui s’élève, à une voix au début, suivi  des autres arrivants et  de tous vaisseaux !

Le profile de Trafalgar ne tardait pas à se laisser apercevoir..



Jefflebarde a écrit:Je tendis l'oreille, croyant percevoir un écho à mes vers lancé quelques instant plus tôt
En effet, l'amorce avait fait mouche et ferré, un marin le poursuivit à son tour :


Que n'ai je rêvé de ces gardiens de pierre
Qui veillent sur la passe, été comme hiver
Et qui nous salueront d'un silence rythmé
Par le chant de nos voiles, par les grands vents gonflées...

Je trouvais très inspiré ce compagnon de flotte et me servis un verre_ à boire ce coup-ci ; j'avais la gorge asséchée par les embruns.

Il était temps de faire parvenir mes voeux de l'an neuf à tous les capitaines et leurs équipages ; je le fis par pigeon en ces termes :


[rp]Mes meilleurs vœux à tous les membres de notre aventure et de la Royale
Avons passé ce réveillon tous réunis,  marins de tout bord, face au grand Rocher, tout à l'ouest de la Méditerranée.
Bonne année 1464 à vous tous !

Et comme a dit la Patronne, l'amirale de France lors de sa prise de parole entre de chopines :
Au revoir lac des mers du sud et ravie de te revoir Ô océan de mon cœur !

Elle n'arrête pas de chanter à tue-tête : lalalala..., j'irai revoir ma Normandie..., ohé ohé matelots...
On a du mal à la suivre, tant elle semble pressée.
Doit souffler dans les voiles la drôlesses...[/rp]

Tanissa a écrit:[A' bord de l'Obélix]

- Shiver my timbers!

Par mille sabords! Le bois tremblait vraiment frappé par les attaques puissantes des flots de l'Atlantique. Cordages et as étaient un concert de grincements et laments. Mais l'Obélix tenait le coup. La Corsaire avait veillé à chaque étape de la construction dans les chantiers siciliens, en râlant souvent à l'adresse des charpentiers au travail: " euh les gars, ce n'est pas une barque de peche! Est-ce que je vous ai peut-être dit de mendier la poix? Et ce serait le bois pour la quille? ARGH!". Elle avait râlé oui, parfois jusqu'à rester sans voix, mais que résultat! La carague fendait l'eau troublée comme s'elle dansât avec les vagues.

Les yeux des capitaines et des matelots brillaient, fixés sur la tempête qui grondait peu loin. Et au-delà...

Peu plus tard, ancre jetée pour la nuit, la cambuse explosait sous les chants et les rires de l'équipage. Un des matelots, en sentant peut-être la maison tout pres, avait sauté sur le table en hurlant et en dansant endiablé.


"Les blondes, les brunes, nous n'en manquerons aucune
Les belles, les fines et puis celle à grosses poitrines
les petites, les grandes et celles qui nous ferons des avances
La vie est trop courte pour manquer la chaloupe
et les femmes sont trop belles pour pouvoir se passer d'elle
Prenons notre courage à deux mains et ramons là-bas au loin.
Si femmes nous trouvons, femmes nous rapporterons!"


L'Amiral sourit en secouant la tête, comme elle avait dit à un italien que se plaignait qu'elle passait tout son temps en France parmi les - mange-grenouilles -: Mon ami, tu sais... De mous ils ont seulement la prononciation du "r".

Floriantis a écrit:- sur une autre caraque -


"Si femmes nous trouvons, femmes nous rapporterons !" *

Le chant passe de navire en navire entonné par les marins riant aux éclats, et l’Alcapari n’est pas en reste.
Il a profité que Merer est de quart pour grimper tenir compagnie à la vigie qui l'accueille en pointant l'horizon du doigt et en gueulant pour se faire entendre au milieu du vacarme soulevé par les éléments de dame nature.


la tempête est là bas regarde !
il va falloir s'accrocher et ne pas perdre le cap !


Il aime venir à cet endroit où il domine de ses aciers bleutés cette mer dont l’immensité et la puissance frappe au premier regard.  Sa chevelure disciplinée par un bandeau noir, le visage basané par ces mois en pleine mer, les bottes posées solidement sur la plateforme, sa main gantée de cuir agrippée au cordage, il savoure le moment, et la vue plongeante sur la Flotte, cette Flotte belle et majestueuse qui brave la puissance des vagues, laissant dans son sillage les chants des marins et des navires.
Les voiles claquent, les coques se plaignent mais fendent sans relâche les vagues à pleine puissance, et il se souvient de sa remonté vers le nord sur le Cent Vents, accompagné par la caraque d’Harpège veillant sur eux il y a quelques mois, il se souvient de la violence inouïe de l’océan et de ses tempêtes et il sait qu’il va falloir être attentif et se fier aux cartes et boussoles pour ne pas se perdre, mais il a hâte de se mesurer à nouveau à lui avec l’aide de l’équipage qui veillera sur les cordages et les voiles.

Dieu qu’il l’aime cette mer !
Il l’aime qu’elle soit calme ou déchainée.
Il l’aime comme il l’a détestée de toute son âme lorsqu’elle a englouti sans hésitation, ni regrets, ni remords, le Plume de pierre au sud de la Sicile.
Il aime l’affronter et la braver lorsqu’elle est en furie et se déchaine comme si elle voulait à nouveau les engloutir pour leur  montrer que c’est elle qui fait la loi.
Jamais il ne s’est senti aussi vivant que sur le pont et à la barre d’un navire.
Sa main libre accroche la médaille d'Aristote qui pend à son cou depuis quelques semaines.


accroches toi marraine, ça va secouer !

Et il entonne le refrain du chant qui couvre par moment le vacarme de la terrible tempête qui s’annonce.

"Prenons notre courage à deux mains et ramons là-bas au loin !
Si femmes nous trouvons, femmes nous rapporterons !"*



*Bodh'Aktan - les trois capitaines -

Floriantis a écrit:- A bord du Megalodon quelques temps plus tard -

Appuyé sur le bastingage, emmitouflé dans une chaude cape dont il avait rabattu la capuche pour s'abriter un peu de la neige qui recommençait à tomber, le jeune Alcapari suivait les caisses du regard. Pas celles de LD non les siennes, à lui. C'est qu'il avait arpenté les étals, avant de faire affaires avec un artisan, ou plutôt c'était l'artisan qui avait fait affaire car les pains n'étaient quand même pas donnés, et il s'était donc délesté de quelques centaines d'écus.
Mais c'était aussi une façon de remercier le port de son accueil.  


" La boulangère a des écus
Qui ne lui coûtent guère.
Elle en a, je les ai vus,
J’ai vu la boulangère aux écus
J’ai vu la boulangère. "*


Tiens il aurait pu lui chanter cette contine que fredonnait toujours la Francine dans sa boulangerie à Rouen.
Ha la Francine !
Pas trop jeune, pas trop d'âge, mais une corpulence certaine et qui s'était évertué pendant une année à lui trouver femme. Il avait dû user de bien des subterfuges pour échapper aux listes qu'elle lui présentait.


- ma femme c'est la mer n'arrêtait il pas de lui dire à la Francine
- que nenni mon grand, la mer ne fait pas tout, qu'elle lui lançait
- ben le "pas tout" attendra lui répondait il

Et il y avait échappé. Mais dans ce port, la boulangère était gentille, agréable et ça avait été un argument de vente.
Et puis le jeune capitaine n'avait pas l'intention de rester à terre plus d'une journée.  

Il n'était que second en ce moment, ou co capitaine, mais pas question que l'équipage meure de faim. On ne pouvait pas servir la Couronne avec des morts fussent ils encore un peu vivants.
Quoi que ça pourrait sans doute faire peur à l'ennemi des morts vivants.
Il y avait de plus le pont à nettoyer, les canons à choyer, astiquer, dépoussiérer et il fallait surveiller.... les pingouins.

Haussant un sourcil et puis l'autre, il suivit du regard l'une de ces drôles de bestioles dotée d'une fourrure étrange et qui se dandinait maladroitement, ne semblant être heureuse que lorsqu'il neigeait  ou qu'il faisait très froid, tant froid que le pont devenait glissant au point qu'il suffisait d'un petit tangage pour qu'on se retrouve à l'autre bord dans un équilibre plus ou moins instable.
Quelques matelots avaient donc de ces pingouins avec eux et les petits trucs à poils s'étaient réunis non loin de lui, regardant les navires qui passaient à leur portée.
Le jeune marin aurait juré voir quelques larmiches dans leurs yeux, comme un regret de ne pouvoir aller glisser de ponts en ponts, histoire de voir s'ils étaient mieux niveau glisse.

Abandonnant du regard les boules à poils, il suivit la dernière caisse jusqu'à sa destination.


arrimez bien tout ça, j'ai eu du mal à les trouver alors autant ne pas les perdre au premier tangage.
C'est du maim.


Ca c'était un code pour dire que c'était du miam, mais à l'envers, et surtout il ne fallait pas le répéter à personne.
Cargaison secrète le maim.

Et puisqu'il n'était pas de quart, il grimpa le long des cordages jusqu'à la vigie afin de prendre place sur la petite plateforme pendant que le navire filait, tout en laissant ses prunelles bleutées partir vers le large.



* contine enfantine, ça rime



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